la tonnelle

Nombre de messages : 98 Date d'inscription : 29/01/2006

Dame Cafetière s'étati assoupie dans ce lieu si tranquille. Se réveillant de bonne heure, elle vit quelques personnes en train de dormir, ronfler ou les deux..

Ah, l'alcool, ça donne des ailes et cache la vérité, mais il ne laisse pas voir son meilleur visage après !

Voyant un couple dormir au pied d'un arbre elle sourit, reconnaissant l'homme sous le déguisement..

Décidement, il trouvera toujours les bras d'une femme pour dormir ! Dommage qu'il n'ai pu trouver les miens...

Elle partit en direction des batiments, pour trouver des couvertures. Elle enveloppa la femme et l'homme, pour leur permettre de continuer leur sommeil, dépose un baiser sur la joue du faune, espérant ainsi entrer dans ses rêves.
Puis elle parti assumer ses taches comtales, le coeur triste de ne pouvoir se perdre toute la journée dans ce superbe jardin.
Bah, je reveidnrai quand les alcooliques seront réveillés !

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 27/01/2006

Oanell n'était arrivée au coeur vert que ce matin, et elle n'allait pas pouvoir y rester longtemps. Mais, ayant fait le tour des jardins, et des festivités, elle constata que les distractions et l'alcool avaient eu raison même des plus braves ! Souriante, elle passa près de plusieurs personnes endormies à-même l'herbe, et continua sa promenade.

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 28/04/2006

Solstice sursauta en son sommeil, se levant brusquement, et pointant le nez au ciel sans autre préambule que cette action quelque peu violente pour un matin d'été? Non printemps, c'était vrai. Pourquoi une telle agitation au réveil? Tout simplement car..

Dieux! Le jour s'est déjà levé? Ironie! Il faisait encore nuit en mon rêve. Un visage s'est penché sur mon berceau de verdure pour épier mes rêves et dans ceux ci je l'ai happé, capturé le temps d'une nuit. C'est agréable mais. Dieux! Il fait déja jour!

Ainsi, l'elfe s'était levé simplement car les rayons du soleil le chatouillait de connaître l'heure si avancée. Il avait donc bel et bien dormi, un long moment, avec pour seule compagnie les fées dansantes d'un bal du muguet, recréé en son esprit de mille et unes manières, toujours aussi exaltantes.

Solstice s'étira d'une manière féline, les deux mains entrecroisées levées au ciel, saluant l'astre diurne d'une tension de ses paumes découvertes et baignées de la lueur dorée. Puis son dos se cambra, et d'un baillement phénoménal, il acheva cet étirement si bien débuté. Il y avait de ces journées qui commencaient si bien, qu'elles ne méritaient qu'une telle exclamation pour débuter.

Il se frotta les yeux d'un air infantile, une moue d'enfant inscrite sur le visage.

Je me demande si mon Délicat s'est réveillé. Bah! Laissons le dormir un peu, sa peau est un tel cuir que le temps qu'il ressente les affres du soleil sur sa peau, il fera nuit, le temps d'une nouvelle journée pour lui, car la nuit, l'alcool est meilleur, ainsi me le dit-il.

Un rire amusé vint se perdre dans les lueurs d'une rosée évaporée. Pieds nus, Solstice avancait sur l'herbe, laissant chaque pas l'envahir de la fraicheur, de la douceur d'une dame nature l'accueillant à son éveil brusque et pensif.

Jetant des coups d'oeil de droite et de gauche, il avanca ainsi, lentement, accueillant l'éveil endormi des couples d'éclats de rires et d'un refrain des bois, soufflé par Mère Nature.

Le printemps roucoule,
Les couples se forment peu à peu,
L'oubli dans les bras de sa blonde,
L'envie dans les bras de son brun,
Puis en un réveil plus qu'incertain,
Ils se réveillent l'esprit brumeux,
Se demandant par quel destin,
Se sont ils retrouvés en ces bras délicats,
Qui les accueillent en un éveil d'ébats,
Caresses et baisers sont au rendez vous,
Car le printemps n'est pas avare de... bisous?

Eclate de rire.

Le printemps roucoule, et Garnulf est soûl!

D'un pas sautillant dans les herbes folles, il partit en quête des éveils prématurés, ou de solitaires des rêves qui, dans leur folie avinée avaient tenté de fuir un sommeil nécessaire et accueillant. Ce jardin était vraiment d'Eden...

Chaton se réveilla un peu endolorie d'avoir dormir assise au pied d'un arbre. Elle soulèva délicatement la tête de son grand ami, se glissa dans l'herbe pour la déposer délicatement.

Remarquant la couverture, elle se demanda bien qui pouvait avoir eu cette charmante attention. S'étirant longuement en faisant jouer ses muscles, elle se mit debout et marcha un peu pour se dégourdir. Elle alla voir s'il ne resterait pas des connaissances dans les jardins.

Bendalf ne s'éveilla que fort tard dans la matinée. C'est la caresse d'un rayon de soleil qui le tira d'un sommeil paisible, débarassé des cauchemars qui l'épuisent depuis quelques nuits. Il prend lentement conscience qu'il s'est, comme tant d'autres, écroulé de fatigue, dans un coin de ce magnifique havre de verdure. La sérénité des lieux semble déteindre sur son âme.
Un peu ébloui par la lumière de ce doux soleil de printemps, il recouvre lentement ses esprits. Il sent un léger poid dans le creux de l'épaule gauche, et prend conscience que Huna s'est endormie à côté de lui. Essayant de ne pas la réveiller, il tente de rectifier sa position afin de bouger un peu son bras ankylosé...

Nombre de messages : 225 Date d'inscription : 28/01/2006

Se reveille.. il fait encore nuit.. a moins que ça soit deja..

Les effets de l'alcool semblent n'être plus qu'un vague souvenir, il sent sur lui l'odeur de femmes qu'il connait bien, chaton et sur la converture le parfum de Made. Ce dernier point l'interpelle.

Il se releve, peniblement, il reste encore visiblement des traces des agappes de la veille.

Ne voit personne sou la tonnelle, baille, emerge, reflechit à la soirée de la veille .

Chaton qui venait de quitter les bras de son homme de tous ses désirs vint s'assoir au pied d'un arbre car elle avait besoin de respirer l'air de la nature ayant eu un léger malaise. Elle s'adossa à l'arbre et se perdit dans la contemplation des étoiles du firmament.

Un gros rot sonore se fit entendre puis éclat de rire et un "Hého l'piaf, t'a vu la puissance d'c'rot?".
Garnulf arrivait...
Sifflotant gaiement le refrain d'une chanson parlant de massacre et de gnôle, Garnulf approcha de la fontaine non loin de la tonnelle.
Chope en main et flasque de tord-boyaux en main, il remplit à moitié la chope de tord-boyaux puis y versa de l'eau.
Puis, le gros gueux allait revenir à l'auvent quand il vit une forme dans l'ombre de la tonnelle.
Il beugla :

Qu'v'là?

Le gros idiot remarqua que c'était Chaton.
Toujours méfiant il demanda :

C'toi l'dame chaton?
C'qu't'fait ici?

À force de regarder le firmament, Chaton s'était encore une fois endormi adossé à l'arbre. Elle fit de merveilleux songes, ils avaient tous la présence d'un ange de lumière. Au loin, elle eut la sensation que quelqu'un lui parlait mais ne voulant pas quitter ses rêves, elle continua à dormir.

Le soleil brillait au-dessus de la tête quand elle s'ouvrit doucement un oeil. Elle avait dû changer de position en dormant car elle était maintenant étendu au sol et non plus assise contre l'arbre. Elle s'étira avec délice par cette belle journée de printemps.

Elle se leva doucement et ce mit à déambuler dans les jardins pour voir s'il y avait de nouvelles personnes mais aussi pour regarder si comme elle, plusieurs avaient profité de ce magnifique jardin pour y dormir.

Voyant que la forme semblait ne pas l'entendre, Garnulf haussa les épaules et retourna vers l'auvent.

Bendalf a écrit:: Bendalf ne s'éveilla que fort tard dans la matinée. C'est la caresse d'un rayon de soleil qui le tira d'un sommeil paisible, débarassé des cauchemars qui l'épuisent depuis quelques nuits. Il prend lentement conscience qu'il s'est, comme tant d'autres, écroulé de fatigue, dans un coin de ce magnifique havre de verdure. La sérénité des lieux semble déteindre sur son âme.
Un peu ébloui par la lumière de ce doux soleil de printemps, il recouvre lentement ses esprits. Il sent un léger poid dans le creux de l'épaule gauche, et prend conscience que Huna s'est endormie à côté de lui. Essayant de ne pas la réveiller, il tente de rectifier sa position afin de bouger un peu son bras ankylosé...

Huna s'éveilla doucement, mais n'osa pas ouvrir les yeux de crainte de n'avoir fait que rêver à ce qu'il s'était passé. Mais etait ce bien lui qu'elle sentait tout près d'elle? etait ce ses bras? N'était ce pas qu'une douce illusion?
Elle resta là sans bouger, attendant un signe, un geste de lui..
Puis quelques instants plus tard, ce qu'elle espérait arriva : il bougait.. et à cet instant précis, elle comprit que s' était bien réel, et non pas un fantasque de son imaginaire. Et décida alors d'ouvrir les yeux.