Passant d'allées en allées, vétue modestement pour passer inaperçue, sans corset pour être à l'aise, Neb s'avance jusqu'au kiosque de cette Héloïse dont elle aime l'histoire tragique.
Elle s'assoit sur un banc et pose une main sur son ventre dont l'arrondi se distingue plus nettement. Sans savoir pourquoi, sans raison sans doute, elle se met à pleurer, doucement, en silence.
Juste s'abandonner et pleurer, celà fait parfois du bien...